juin 1988 - juin 2008

Samedi 31 mai 2008 à 20:13



Maaaa c'était chouette.
Je suis en mode happy face mit tête in ze pâté.


Mais d'abord, un petit hommage auquel je ne pouvais pas échapper...



Si ça c'est pas du Mérou de compétition... sérieux t'as assuré comme une bête, c'était trop génial (quant à mézigue je suis ridicule sur la vidéo mais c'est un autre débat, d'autant plus que je confonds SES et SHS, mais pour ça il semblerait que je ne sois pas la seule, spéciale dédicace à Flavio).
Merci merci merci.

Et merci à tous ceux et celles qui sont viendu(e)s, à celle qui nous as accueillis, à celles qui étaient pas là mais qui pensaient à nous (ou pas ^^), à celles qui pensent que je suis mal coiffée, à celle qui a bien choisi le sac, à ceux et celles que j'avais pas vu(e)s depuis longtemps, à tout le monde. Mérou, Sat, Hypo, Gégé, Claire, Fab, Juju from Montisquiou, Lucillouchette. Un nem pour tout le monde.

P H O T O S



Cheers !





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I'm sorry I met you, darling

Jeudi 29 mai 2008 à 22:12



fiouuuu. Rentrage de la danse rouge telle la tomate et humide telle la sardine arrachée à son milieu naturel. Le gala est dans 9 jours très exactement et on peut pas dire que je sois absolument jouasse à cette perspective, d'une rotule je vais me piffrer toute la soirée alone et de l'autre je me sens quelque peu comme le mouton noir de la bande au milieu de toutes ces étoââles. Sans compter que je sais absolument pas comment je vais pouvoir réussir à dompter ma mini chevelure, mais c'est un détail sans importance. Et les faux cils !!! Je hais les faux cils.





demain... demain demain !!! Là je suis plus jouasse de suite. Je prie juste Sainte Louise (Bourgoin), déesse de la météo, pour qu'elle soit clémente avec nous, park camper sous la pluie avec 2 grammes de sang dans l'alcool, très peu pour moi, et sûrement pour les autres. Bref. Comme on dit chez nous (ou pas) : inch'allah !



Alex n'est pitetre pas une gravure de mode, mais, heuuu, Miles Kane, comment dire... non rien, j'ai peur d'être méchante. Tais-toi Perrine.



j'ai bien kiffé la journée d'aujourd'hui tiens. Mis à part la chimie bien sûr, la prof tenant absolument à nous faire bosser pour notre dernier cours, alors que les seules affaires que nous avions apportées étaient à base de Carambar, cookies et jus de fruits. Deux heures plutôt laborieuses donc.

le self très riant par contre. "Bonjour ! Rien, merci, au revoir !"
Les espadrilles de Roro !!! Mouhaha. Pauvre gus.

goûters conjugués en bio et en maths. Les pop-corn. "Heuuu, dites, c'est normal que le micro ondes fasse ce bruit ?" "Bah vi, c'est des pop-corn". J'ai réussi à les écouler ! Un grand merci à la prof de bio qui m'a bien aidée là dessus. Maintenant, les femmes enceintes, c'est plus les fraises mais les pop-corn... question de génération, sans doute.

hypo et Juju m'ont dit que je sentais le pâté. Et m'ont jetée comme une vieille chaussette pour se faire des messes basses. Vilaines filles ! Je m'en souviendrai tiens :P

retour au collège : échange de mots doux avec les MNA-unités-centrales de la classe d'à côté par le truchement de la fenêtre. Sans compter l'habituelle bataille de feutres mit Poulpy, qui m'a valu un sourire narquois de la prof de danse. Oui j'ai presque 20 ans, je suis la plus ridée du cours et je fais des batailles de feutres. Et encore, je lui ai pas dit que mon agresseuse allait sur ses 23... Quel manque de maturité franchement. Tout juste sortables ces filles.

à un moment on en est quand même venues à parler de mecs avec... le prof de maths. Qu'est-ce que le point ? J'ai pas trop participé à la conversation, occupée que j'étais à régler mon tir vers la fenêtre d'en face, n'empêche que c'est à peu près la dernière personne avec laquelle j'aurais songé tailler une bavette sur le sujet "rencontres masculines". Dommage qu'on le voie plus, il aurait pu me servir de conseiller matrimonial. Blague.

j'adore Caro. "On a vu ton chéri tout à l'heure !" L'homme aux espadrilles et à la démarche-de-Byron-mit-carrure-de-sauterelle, mon chéri ? Euh, nan, j'crois pas non. Choupi certes, mais faut pas déconner non plus. Pis chacune sait que mon coeur ne bat que pour Tch-tchaaaarles ! Mamma mia, quel homme. Blague, bis.


lundi, petit restau avec les topines de la classe à l'initiative de mézigue pour fêter mon changement de décennie (même si franchement, ya rien à fêter, à partir de lundi 8h50 je serais plus proche de 30 que de 10 et ça veut dire fin de l'insouciance donc c'est la grave déprime). Camille-onette m'a conseillé L'annkitous. Hein ? L'annkitous ? Kézako ? Aaaah, L'Âne Qui Tousse, ben voyons...



allez, un peu de bonheur, même si j'ai trois trains de retard (si ce n'est plus) sur le buzz. Gilles, on t'aiiiiime !!!






jukebox
Babyshambles  Baddie's Boogie
Dirty Pretty Things  The Gentry Cove
Kasabian  Butcher Blues
The Strokes  Hard To Explain
BB Brunes  Mr Hyde
The Wombats  School Uniforms
The Last Shadow Puppets  In The Heat Of The Morning
Kaiser Chiefs  Retirement
Hushpuppies  Pale Blue Eyes
The Kooks  Stormy Weather


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Dimanche 25 mai 2008 à 16:00



La blague du jour, spéciale "fête des mères", made by mon Vati.


J'avais trouvé une super idée : un CD. Vendredi, je vais à Leclerc pour l'acheter, mais je le trouve pas, alors appel au secours au paternel pour lui demander si par hasard il aurait pas une idée de secours.

Là il me dit, "elle voulait acheter une table de bistro à carreler soi-même, comme on trouvera pas ça d'ici dimanche on lui fera un bon".

OK pour le bon. Un zouli papier, trois feutres, je m'applique.

Ce matin, je vais acheter du pain, j'en profite pour rentrer avec un bouquet de fleurs, et je lui offre son bon.


La voilà, la chute : en effet, elle voulait acheter une table à carreler.

Sauf que c'était pour en faire une avec le logo du Stade et me l'offrir pour mon anniv pour mon futur chez-moi.

Ta-daaaam ! Un cadeau de fête des mères raté et un surprise grillée.

Je l'aime, mon Vati


Le match ? nan, pas envie d'en parler.


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Low lie the Fields of Athenry...

Vendredi 23 mai 2008 à 23:54



Putaing, con.

Le stress commence à monter. Opération pub à la maison demain pour ZE match.


A savoir :

 vs 


Ou également, même s'il y a erreur sur le stade :




Inutile de vous préciser que mon Vati est interdit de porter son sublime maillot, acheté à Tralee, depuis notre retour de ce vert pays, et la pénitence durera encore au moins une semaine en cas de défaite des nôtres. Ce que je n'ose envisager. Je veux retourner au Capitole fêter nos héros, la dernière fois c'était en 2001, alors forcément, nostalgie quand tu nous tiens.


En un mot comme en mille : ALLEZ LE STADE, bordel de millediou !


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On n'est pas là pour être ici

Samedi 17 mai 2008 à 12:08



Jauzion Yannick :
[jô-zion-y'a-nique] n.p.
    Centre du système.
    Syn. : Le grand qui passe au milieu.



Coupe du Monde :
[kou-peu-du-mon-2] n.comp.f.
    Compétition incroyable regroupant les vingt meilleurs équipes du monde et organisée pour     que la France batte les All Blacks de temps en temps.
    Syn. : Le Trou Noir ou Hole Black.



Diététicien :
[dié-té-ti-ci-un] n.c.m.
    Hérétique.
    Syn. : suicidaire.



Joueur dur :
[jou-heu-R'dû-R] n.comp.m.
    Joueur de l'équipe locale dépassant parfois les limites de l'acceptable.
    Syn. : papa, brave, héros.



Joueur violent :
[jou-heu-R'vi-ô-lan] n.comp.m.
    Joueur de l'équipe adverse dépassant parfois les limites de l'acceptable.
    Syn. : salopard, psychopathe, énergumène, serial killer.



Demi de mêlée :
[2-mi-2-mé-lé] n.comp.m.
    Créature mi-homme, mi-chien, dressée pour surveiller et ramener le troupeau de gros au     vestaire.
    Syn. : le petit, le nain, le 9.



Pichot Agustin :
[pi-tch-eau-te-a-gou-ce-ti'ne] n.p.
    Syn. : Genious, The Brain, le Général, l'Empereur, César (pour les Argentins) ; la peste et le choléra réunis (pour les reste du monde).



Stade Français :
[sta-2-fren-ssè] n.p.
    Club d'avant-garde et d'arrière-train.
    Va lui dire toi à Roncero que c'est un club de tounes !



Si l'on dit que le rugby est une grande famille, chez les Elissalde, la famille a une glande rugby.


Dictionnaire absurde du rugby, tomes 1 & 2, de Serge Simon.
Extraits choisis.

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